
Victor-Hugo & Montchapet : deux quartiers emblématiques de l’immobilier haut de gamme à Dijon
Victor-Hugo & Montchapet : deux quartiers emblématiques de l’immobilier haut de gamme à Dijon
À Dijon, le marché immobilier haut de gamme repose sur des équilibres subtils entre cachet, emplacement et rareté. Parmi les secteurs les plus convoités, deux quartiers sortent du lot : Victor-Hugo et Montchapet. Bien que très différents dans leur atmosphère, ils concentrent à eux seuls une part significative des transactions les plus qualitatives de la ville.
Victor-Hugo : l’élégance du style haussmannien en plein centre
Le quartier Victor-Hugo s’étend autour de l’avenue éponyme, entre la place Darcy et la gare. Il est considéré comme l’un des secteurs les plus emblématiques de Dijon pour les amateurs d’architecture classique. On y trouve de nombreux immeubles au style haussmannien, souvent dotés de balcons filants, moulures, cheminées anciennes et belles hauteurs sous plafond.
Ce qui fait sa force, c’est avant tout sa centralité parfaitement équilibrée. À quelques minutes à pied du centre-ville historique, à proximité immédiate de la gare TGV et des écoles privées, le quartier attire aussi bien des familles installées que des cadres venus de Paris ou de Lyon.
Les prix s’y maintiennent à des niveaux élevés, souvent compris entre 4 500 et 5 800 €/m², avec des pics dès lors que le bien dispose d’un extérieur, d’un dernier étage ou d’une rénovation haut de gamme. Parmi les ventes récentes réalisées par l’agence EZARE, une maison d’architecte de 280 m² située avenue Victor-Hugo s’est vendue 1 195 000 €, soit environ 4 268 €/m².
Plus bas dans le quartier, rue Lamartine, une maison XIXe rénovée avec jardin a trouvé preneur à 995 000 € pour 200 m², soit près de 4 975 €/m².

Montchapet : le standing résidentiel en retrait du centre
À l’ouest immédiat du cœur de ville, le quartier Montchapet offre un cadre de vie plus discret, mais tout aussi prisé. Ici, pas d’immeubles haussmanniens, mais des maisons bourgeoises, souvent construites entre la fin du XIXe siècle et les années 30, avec jardins clos et rues paisibles bordées d’arbres.
Le secteur attire une clientèle familiale locale ou de retour d’expatriation, à la recherche de calme, de proximité avec les écoles et de surfaces confortables.
Les valeurs au mètre carré y sont un peu plus contenues, mais demeurent solides : entre 3 800 et 4 800 €/m² selon l’état et l’emplacement.

Parmi les ventes observées récemment par EZARE, une maison de 260 m² rue de Montchapet a été vendue 1 050 000 €, soit 4 038 €/m², et une autre rue Chevreul, de 220 m² avec jardin et garage double, a été cédée autour de 925 000 €, soit 4 205 €/m².
Appartements : de fortes disparités selon l'étage, la surface et les extérieurs
Le secteur que les Dijonnais appellent couramment “quartier Victor-Hugo” — qui englobe l’avenue du même nom et ses rues voisines comme Philippe le Bon, Paul Thénard ou Lamartine — n’existe pas officiellement comme entité administrative, mais constitue bel et bien l’un des repères les plus emblématiques du marché immobilier local.
Si les appartements y bénéficient d’une demande soutenue, en particulier dans les immeubles en pierre de taille avec du cachet, les maisons y sont également très convoitées. Plus rares, elles séduisent une clientèle en quête d’un emplacement à la fois central, résidentiel et valorisant, à proximité immédiate du centre-ville et du jardin Darcy.
En bas de l’avenue Victor-Hugo, EZARE a vendu plusieurs biens d’exception ces derniers mois, illustrant la diversité des produits et des niveaux de prix dans ce secteur.
Un penthouse unique de 200 m², avec terrasse plein ciel, vue dominante, ascenseur privatif et prestations haut de gamme, a été vendu à 1 500 000 €, soit 7 500 €/m² — un niveau de prix exceptionnel à Dijon, justifié par le caractère rare du bien.
À deux pas du jardin Darcy, dans un immeuble en pierre de taille de la fin du XIXe siècle, un appartement de 102 m² situé au 1er étage a trouvé preneur à 425 000 €, soit environ 4 167 €/m².
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À Montchapet, certains appartements atteignent également des valeurs soutenues lorsqu’ils présentent un emplacement privilégié et des caractéristiques rares. Rue Michel Servet, EZARE a vendu un appartement de 185 m² au 5e étage avec ascenseur, grande terrasse plein sud et vue dégagée sur les toits de Dijon, au prix de 935 000 €, soit 5 054 €/m². Dans une bâtisse ancienne rue Docteur Durande, un appartement de 90 m² avec terrasse de 90 m² et deux places de stationnement a été vendu 399 000 €, soit 4 433 €/m².
Enfin, dans le secteur Carnot, un dernier étage de 78 m², avec cachet, a trouvé acquéreur à 340 000 €, soit 4 359 €/m².
Une demande soutenue sur des biens rares L’analyse de ces transactions récentes confirme une tendance claire sur le marché dijonnais : les biens haut de gamme se vendent rapidement lorsqu’ils réunissent emplacement, caractère et niveau de prestations. Qu’il s’agisse de maisons familiales rénovées à Montchapet ou d’appartements avec terrasse dans les plus beaux immeubles de Victor-Hugo, la rareté alimente la valeur.
Victor-Hugo et Montchapet bénéficient d’une dynamique stable et active, portée par la qualité de leur environnement, leur patrimoine architectural, et une demande exigeante et régulière sur les biens les plus soignés.


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Noémie RINGUELET
Responsable de Communication
Dijon et alentours
Publié le 17/06/2025 par
Noémie RINGUELET
À Dijon, le marché immobilier haut de gamme repose sur des équilibres subtils entre cachet, emplacement et rareté. Parmi les secteurs les plus convoités, deux quartiers sortent du lot : Victor-Hugo et Montchapet. Bien que très différents dans leur atmosphère, ils concentrent à eux seuls une part significative des transactions les plus qualitatives de la ville.